Taillés pour réussir !
Un Super-Prédateur !
Et si cet animal impressionne depuis toujours, c’est certainement grâce à son intégration réussie au sein de nombreux écosystèmes marins et même d’eau douce de la planète (à l’image du requin bouledogue pouvant vivre dans les deux !).
Dents à volonté !
Sang pour sens !
Des ampoules qui éclairent bien !
Snif… snif…snif…
Et le processus de chasse commence par là, et se finira par l’attaque !
Sexualité plutôt… animale !
Le sexe, on le dit toujours, c’est important ! C’est ce qui va également permettre aux êtres vivants de réussir ou pas. Là aussi les requins ont su évoluer et s’adapter au mieux. D’autant plus que le rapport sexuel est plutôt musclé !
Des oeufs, oui… mais pas toujours!
Bien que considérés comme des poissons (cartilagineux), la grande particularité vient de la diversité du développement des embryons. Aussi surprenant que cela puisse paraître, beaucoup d’espèces de requins ne pondent pas d’oeufs ! On trouve en effet des requins ovipares bien sûr (notamment les roussettes), de nombreuses espèces ovovivipares, lorsque les oeufs incubent et éclosent à l’intérieur de la femelle (le petit n’est pas relié à sa mère). Enfin, certaines espèces comme le requin tigre, le requin citron, le requin renard…, sont vivipares. Les petits sont alimentés par la mère par le cordon ombilical. Ce système ressemble fort à celui des mammifères.
Encore un peu de bio…
Voici un schéma de la morphologie des requins. Il y a bien sûr des variations selon les différents ordres de la classification. L’épine dorsale n’est pas toujours présente, notamment chez les espèces les plus récentes. Les fentes branchiales peuvent être au nombre de 5, 6, ou 7.
Les grandes familles de requins
Les requins forment un groupe paraphylétique. A ce titre, ce sont surtout les caractéristiques morphologiques qui permettront de les reconnaître. Ils appartiennent à la classe des Chondrychtiens qui regroupe les poissons cartilagineux.
Anthony LEYDET