La proposition de Georges Frêche concernant un projet d’aquarium consacré aux mammifères marins et aux cétacés, dans l’agglomération de Montpellier, n’en finit pas de faire des vagues.
Lancée le 12 septembre dernier, une pétition en ligne, a déjà reçu plus de 1700 signatures.
Présentant le futur village de la BD à Odysseum, le 10 septembre dernier, Georges Frêche avait en effet annoncé la mise en projet d’un delphinarium, « avant la troisième tranche des travaux de l’aquarium ». Le délai annoncé était de « quatre à six ans ». « Ce delphinarium, qui serait entièrement extérieur, accueillerait des otaries, des orques et des dauphins et comprendrait 2 000 places assises », a précisé le président de l’Agglomération.
4 commentaires
Merci Thierry,
Ont-ils un distributeur en France???
D’accord bien sûr.
Proposons à Mr Frêche d’être enfermé… disons 15 jours pour commencer Une pièce en béton, sans fenêtres, avec un air conditionné, où toutes les paroles, les bruits qu’il ferait seraient amplifiés et renvoyer avec un écho incessant. Il ne pourrait bien sûr pas commander l’éclairage et sa principale distraction serait lorsque ses gardiens viendraient lui lancer quelques denrées et jouer à la baballe avec lui. Evidemment, ses matons ne parleraient pas sa langue et pour eux, la psychologie de leur “chose” leur serait en bonne partie étrangère.
Bon. Ne rêvons pas. Ou un peu tout de même… 😀
Ah, j’oubliais. Dans la Rome antique, les jeux du cirque servaient à amuser et à détourner l’attention du peuple des autres problèmes de la cité. L’argent consacrer à ce projet ne serait-il pas mieux employer dans des programmes culturels et sociaux par exemple. Et si l’environnement et les animaux intéressent Mr Frêche, il trouvera certainement une Meilleure utilisation pour cette argent.
Pourquoi est-ce que des gens d’un certain âge, ou d’un âge certain, ne sont pas capable d’utiliser les mauvaises expériences passées pour faire les bons choix aujourd’hui… En général, ce sont les mêmes qui traitent les jeunes d’inconscient ou écervelés… Qu’il travaille à une aire marine protégée au large, ou à une maison interactive sur les mers et les océans pour sensibiliser le public, mais pitié, sortons les gens du syndrome DysneyLand… Les Media d’aujourd’hui nous permettent de voir jusque chez nous ces (les) animaux sans les capturer et d’en apprendre mille fois plus que dans une file d’attente en lisant des panneaux ou des vidéos en attendant sa place dans l’arène ! Pour nous libérer de la pression des grandes agglomérations, il y a peut être d’autres moyens que d’y enfermer la nature avec nous !