Plongée aux Emirats Arabes Unis, au pays de l’or noir, Le golfe d’Arabie
Qui n’a pas entendu parler des Emirats Arabes Unis et de sa capitale « Abu Dhabi », avec ses incroyables infrastructures, son grand prix de formule 1 ou encore Dubaï et ses hôtels grand luxe ou ses centres commerciaux avec aquarium et sa piste de ski intérieure. Ce pays du Moyen – Orient fait frontière avec l’Arabie saoudite à l’Ouest et avec l’Oman à l’Est. Il est bordé par le golfe d’Arabo-Persique et par le golfe d’Oman, qui fait partie de l’océan Indien. Cet état est composé à 80 % de désert et à 20 % de montagnes.
Quand est-il de la plongée dans ce pays qui figure dans le top 10 des producteurs mondiaux de pétrole.
Installé à Abu Dhabi depuis plusieurs années, j’ai pu découvrir et explorer les fonds marins d’un pays resté discret sur ses richesses sous-marines.
Vous comprendrez bien que cet article ne peut pas décrire et répertorier toutes les espèces que j’ai pu rencontrer en plus de 9 ans de plongée aux Emirats Arabes unis. Il a juste pour but de vous faire part de quelques-unes de mes observations et découvertes dans ces eaux tropicales.
Comme je l’ai mentionné, les E.A.U ont la particularité d’être entourés par deux mers : le golfe d’Arabie et le golfe d’Oman. Le golfe d’Arabie est une mer semi-fermée avec comme seule ouverture, le détroit d’Ormuz. C’est une mer unique de par ses caractéristiques. En effet, elle possède un degré de salinité plus élevé que la plupart des autres mers et océans. Sa température peut descendre aux alentours de17°C l’hiver et atteindre plus de 34°C l’été. Malgré ces conditions difficiles, différents coraux, éponges et autres algues ont trouvé leur place dans cette mer qui de prime abord hostile. Toutes ces créatures vous étonneront par leurs couleurs, leur forme et leur diversité. Les fonds sont en majorité composés de sable mais de part et d’autres des récifs, des failles et de petites grottes sont aussi présentes. Parmi ces bancs de sable, par des profondeurs allant de 2 à 7 mètres, de grands champs d’algues procurent une aire de nourritures pour bon nombres de poissons et autres mammifères.
Le dugong :
Peu connu du grand public, les E.A.U. possèdent la deuxième plus grande population de dugongs au monde. Ces animaux très timides peuvent se rencontrer aux alentours de la capitale Abu Dhabi mais surtout plus à l’ouest dans un sanctuaire marin appelé Marawah et autour de l’île de Bu Tinah. Ils se déplacent souvent en groupe qui peut comporter plusieurs dizaines d’individus. Il est plus facile de les repérer par mer très calme car ce sont de très bon apnéistes et très bon nageurs. Ils sont assez peureux et s’enfoncent sous la surface de l’eau au moindre bruit.
Les tortues marines :
Ces animaux profitent aussi de ces étendues d’algues parmi lesquelles elles trouvent une nourriture facile. Vous pouvez ainsi observer toute l’année les tortues vertes et les tortues imbriquées. Ces dernières restent près des côtes et il n’est pas rare de les croiser à la surface ou même en plongée.
Les dauphins :
Dans les eaux du golfe, vous verrez aussi assez facilement le dauphin commun passant généralement quelques minutes dans les vagues de votre bateau. Le dauphin à bosses est plus timide et ne s’approchera qu’à une certaine distance de votre embarcation avant de glisser vers le fond pour réapparaître là où vous ne le verrez pas. Ces deux espèces de dauphins sont observables tout le long de l’année.
La mangrove :
Abu Dhabi comporte de nombreuses zones de mangrove. Elles constituent des nurseries pour bon nombres de poissons et d’oiseaux. Carpes rouges, mérous, empereurs ou encore dorades tropicales ne sont que quelques-unes des espèces piscicoles qui savent profiter de ces lieux protégés pour grandir et ensuite rejoindre le large lorsqu’ils atteignent la taille adulte.
Parmi les espèces d’oiseaux marins, on peut voir les flamants roses, les aigrettes bleues, les butors et beaucoup d’autres espèces de pluviers. Le balbuzard ou aigle pêcheur est souvent perché sur les différents poteaux qui balisent les chenaux. Il attend patiemment qu’une orphie ou autre poisson reste en surface assez longtemps pour pouvoir plonger dessus et en faire son festin du jour.
Les coraux :
Les eaux du golfe sont très chargées en particules et micro algues qui rendent à cette dernière un aspect souvent verdâtre. Malgré tout, la vie est très présente. Une grande variété de coraux durs grandit très bien, sur tout support comme une épave, une digue ou tout simplement un rocher. Les coraux « Madrepore », coraux en forme de boule ou de cerveau, sont très nombreux. Ils présentent des dessins très variés ainsi des couleurs qui peuvent aller du marron au vert fluorescent. Le corail en coupe du genre turbinaria, est assez commun. Il n’est pas rare de voir de beaux spécimens de plus de 60 cm de diamètre. Ce corail est, comme beaucoup d’autres coraux, très fragile et est malheureusement souvent détruit par les ancres de bateau.
Les coraux du style « Acropora », corail en branche ou corne de cerf, sont parfois visibles sur de grande étendues. Là aussi, lorsque vous évoluez au-dessus ou entre ces magnifique structure, la règle est de ne pas les toucher de peur de casser une ramification. N’hésitez pas à vous arrêter quelques instants sur l’un deux pour observer les différentes crevettes, crabes et poissons juvéniles trouvant dans ces branches un refuge bien efficace.
Les éponges :
La famille des éponges est bien présente dans les eaux du Golfe malgré une salinité importante et des écarts conséquents de température. Leur diversité et leur couleur vous surprendront. L’éponge grise (Dysidea sp.) assez commune pousse en forme de boule tubulaire de couleur grise ou violette. Sa taille généralement raisonnable, peut aller jusqu’à la taille d’un melon. D’autres espèce poussent en rampant et peuvent recouvrir des roches entières et autres objets non naturelle. Ces dernières sont de couleur rouge vif ou jaune apporteront de la couleur sur des photos grand angle.
Les anémones :
Lors de vos plongées, si vous évoluez près de bancs de sable, vous trouverez surement les grandes anémones tapis (Stichodactyla haddoni). Ces anémones de formes circulaires ont de très courts tentacules. Elles peuvent atteindre 40 à 50 cm de diamètres. Leur lit de tentacules sert de refuge à une espèce de crevettes très coloré la crevette à queue de paon (Periclimens brevicarpalis). Si vous ne la voyez pas se promener au cœur de l’anémone, gardez en mémoire l’emplacement et revenez quelques semaines plus tard : un couple y aura surement élu domicile durant ce laps de temps.
Une autre anémone présente dans les eaux d’Abu Dhabi, s’appelle l’anémone à bulles (Entacmaea quadricolor). Celle-ci, à la différence de l’anémone tapis, possède de longs tentacules avec une petite boulle à leur extrémité. L’unique poisson clown du golfe d’Arabie (Amphiprion clarkii) s’abrite souvent dans cette dernière. Par endroit, j’ai pu observer de petites colonies d’anémones répartie sur quelques dizaines de mètres. C’est toujours un véritable plaisir de contempler pendant quelques instants les poissons clowns sortir et rentrer dans les tentacules qui dansent avec le courant. Ils sont en fait immunisés du venin que l’anémone sécrète et trouvent donc dans l’anémone, un refuge où personne ne peut pénétrer.
Les étoiles de mer :
Durant mes multiples plongées, j’ai pu trouver deux sortes d’étoiles de mer. L’une bicolor, bleu foncé et marron claire présente une forme standard avec 6 bras de 6 à 8 cm de long. On la trouve sur les rochers à découvert. La seconde (Astrerina burtoni) est par contre, plus discrète. Elle sort la nuit et se cache sous de petite roche. Celle-ci, est de forme hexagonale avec de petits bras et elle est de couleur gris clair.
Les coquillages :
Les coquillages de formes et tailles diverses sont aussi communs dans les eaux d’Abu Dhabi. D‘ailleurs, les eaux du Golfe ont été renommées pour leur abondance en huitre perlières dans le passé. La pêche et la vente des perles représentaient l’activité économique principale et cela permettais à la population de vivre de la vente des perles. Par endroit et sur de grandes étendues de sables, il n’est pas rare de croiser des paquets d’huitres perlières. La maitrise de la culture des huitres dans les eaux du Pacific, fit descendre les prix du marché et se fut la fin de la pêche des huitres perlières dans les eaux d’Abu Dhabi dans les années 1940.
Dans les failles ou dans les petites cavités, différents bi- valves de couleur orange ou rouge, filtrent l’eau à longueur de journée. Leurs lèvres aux motifs très colorés et aux dessins aléatoires bougent au rythme du courant comme des voiles. Si vous regardez plus en détail dans les anfractuosités, vous pourrez voir aussi un coquillage couvert d’algues qui bouge doucement. Ne vous y fiez pas, il s’agit en fait de la crevette saron, (Saron marmoratus) qui, à son camouflage, passe souvent inaperçue auprès d’un bon nombre de plongeurs. De même, la crevette rouge des cavernes (Cinetorhynchus hendersoni) sait se faire encore plus discrète, ne sortant complètement qu’à la nuit tombante. Tout aussi insoupçonné, Dans les failles les plus insoupçonnés, le crabe porcelaine rouge (Neopetrlisthes sp.), hante les failles les plus petites de l’épaisseur d’une pièce de 1 Euros. Il filtre l’eau avec ses antennes dédiée à cette tâche, afin de recueillir le plancton, sa nourriture favorite.
Sous le sable, de nombreux petits coquillages attendent la nuit pour sortir en quête de nourriture. Le dollar des sables, (Clypeaster subdepressus), se suit facilement à la trace. En effet, ce dernier avance juste en dessous de la surface du sable en laissant derrière lui une traînée comme une boursouflure. Si vous êtes chanceux, vous trouverez le fameux peigne de vénus, (Murex pecten) habité souvent par un Bernard l’Hermite.
Les poissons :
Plonger sur ces grandes étendues de sable peut paraître ennuyant mais en les scrutant, on découvre que cet environnement abrite bon nombre de créatures. Lors de mes nombreuses plongées aux abords de la capitale, j’ai croisé bon nombre de créatures insoupçonnés. Par exemple, bien caché sous le sable, le poisson crocodile à tête plate, (Platycephalidae sp.), peut atteindre plus de 40 cm de long.
Plus difficile à observer, l’uranoscope (Uranoscope sp.) attend sa proie, enfoui sous le sable et ne laissant apparaître que ses yeux. De multiples espèces de gobies fouisseurs peuvent être observées durant plusieurs minutes. Pour n’en citer que quelque uns, le gobie de Luther (Cryptocentrus lutheri), le gobie papillon (Amblygobius albimaculatus) ou encore le gobie à six points (Valenciennea sexguttata) figurent parmi les plus beaux et les plus faciles à trouver. Ces poissons sont toujours avec leur meilleur compagnon, la crevette pistole, (Alpheus bellulus). La complicité qui existe entre ces deux espèces est très intéressante à contempler quelques minutes.
Les nudibranches :
Pour les plongeurs photographes passionné de macro, la vie sous-marine des eaux du Golfe possèdent aussi une grande variété de limaces de mer. Le genre des flabellina est courantes surtout sur les épaves et autres structures artificielles. Leurs robes couvertes de longs doigts ondulent selon le courant. L’hypselodoris infucata très coloré sait se faire discrète et difficile à voir. Très commun, le Chromodoris annulata se déplace très lentement et est souvent immobile sur une paroi à l’abris de la lumière.
Récemment, et avec l’aide de mon ami, spécialiste de limace de mer, Stewart CLARKE, j’ai observé une espèce de limace du genre Costasiella. Cette dernière mesurant pas plus de 1 cm, se retrouve toujours sur la même espèce d’algue.
Les serpents de mer :
Nageant à la surface afin de respirer ou nageant entre deux eaux, le serpent de mer du Golfe Arabique (Hydrophis lamemoides) est très commun. Il se rencontre toute l’année. Il n’est pas très peureux mais n’essayer quand même pas de l’attraper car ce dernier possède un venin très puissant. Ses dents sont situées au fond de sa bouche, et ne peut donc mordre que des fines partie du corps. Il est souvent possible de l’observer à la recherche de sa nourriture préféré : les gobies. En effet, le serpent nage en reniflant le sol et n’hésite pas à rentrer dans les trous de gobie dans le sable. Il m’est arrivé de surprendre un serpent avec son corps à moitié rentré dans un terrier.
Les raies :
L’hiver est la saison la plus propice pour observer les raies, qui viendraient se reproduire dans les eaux peu profondes autour d’Abu Dhabi. Les espèces de raies que j’ai le plus couramment rencontré sont au nombre de quatre.
Tout d’abord, la raie papillon (Gymnura poecilura) est sans doute la plus commune. Enfouie ou juste posé sur le sable, elle se laissera approcher sans trop de problème si vous vous y prenez de loin.
Sa forme peu courante, plus large que longue, semble lui donner de grandes ailes qu’elle ondulera en nageant.
Plus grande et en de forme de losange, la raie léopard (Himantura uarnak) est facilement reconnaissable avec sa robe noire tachetée. Posée sur le sable comme sa cousine la raie papillon, elle vous surprendra surement lors de ses envol, lorsqu’elle ondulera sa longue queue comme un fouet qui fend l’eau.
De même, la raie aigle (Aetobatus narinari) est aussi assez commune dans les eaux du golfe. C’est une grande nageuse qui est toujours aussi majestueuse à contempler lorsqu’elle nage entre deux eaux sans effort et souvent en petit groupe.
Enfin, la grande raie à queue en vache (Pastinachus sephen) se rencontre dans toutes sortes de biotope ; sables, récif et champ d’algues. Elle peut atteindre une grande taille et paraître pataude, mais ne vous y fiez pas. Si elle est dérangée, elle saura disparaître très rapidement en ne laissant qu’un simple nuage de sable derrière elle.
En dehors de ces 4 raies assez communes dans les eaux autour d’Abu Dhabi, vous aurez peut-être la chance de croiser aussi la raie torpille (Torpedo sinuspersici), la raie à bec de canard (Pteromylaeus bovinus) ainsi que la raie à queue en fouet de Jenkin’s (Jenkin’s whipray).
De plus dans les eaux peu profondes, à l’abord des fonds sableux et des grandes étendues d’algues, la raie guitare (Rhinobatos granulatus) est souvent en balade. Essayez de l’approcher doucement de côté et elle vous laissera peut être l’observer un petit instant. Très rapide, elle pourra vous distancer rapidement tout en continuant son chemin. En outre, il est possible de voir la raie guitare à bouche en arc (Rhina ancylostoma). Pouvant atteindre plus de 2 mètres, cette raie est tout le temps en mouvement et ne se repose que très rarement. Il est donc difficile de l’observer longuement et ses rencontres sont souvent très courtes.
Les requins :
Bon nombre de requins sont aussi présents dans la mer du Golfe et sont observables dans les premiers 10 mètres. Le requin pointes noires (Cacharhinus melanopterus), le requin léopard (Stegostoma fasciatum) ou encore le requin gris (Carcharhinus amblyrhynchos) sont parmis les plus courantes.
Par contre, si vous regardez bien en- dessous des gros rochers ou dans les petites anfractuosités, vous trouverez surement un requin très discret et totalement inoffensif : le requin bambou (Chiloscyllium arabicum). Ce petit requin marron d’une longueur de 60 à 70 cm se repose la plupart du temps, bien caché sous les coraux. Avec une apparence similaire à celle du requin nourrice, il se nourrit exclusivement de crabes et autres petites crustacés et coquillages.
Comme toutes les mers tropicales, il est possible d’apercevoir le plus gros poisson du monde. En effet, le golfe d’Arabie abrite une grande population de requins baleines (Rhinocon typus). C’est pour cela, qu’il n’est pas rare de croiser leur chemin lors de vos promenades en bateau. Tous les ans, les journaux relatent même que, quelque uns sont même aperçus dans les marinas d’Abu Dhabi et de Dubaï nageant tranquillement le long des quais !
Les poissons :
De nombreuses espèces de poissons présentes dans le golfe, sont identiques à l’océan Indien. Malgré tout, elles sont en nombre moins important car certaines espèces ne supportent pas le degré de salinité très élevé dans le Golfe.
Il n’en reste pas moins vous serez surpris de la quantité de poissons que vous croiserez lors de vos plongées. Notamment, le mérou malabar (Epinephelus malabaricus) et le mérou à queue jaune (Cephalopholis hemistiktos) s’adapte à tous les biotopes de la zone.
Sans les citer toute, plusieurs sortes de poisson cardinal (Apogon), se cachent dans les failles ou même dans les branches de coraux madrépores. Autour des coraux, les poissons à grosses lèvres à points (Plectorhinchus gaterinus) ou brun (Plectorhinchus schotal) nagent en groupe doucement, sans excitation.
Très commun, le poisson ange bleu à barre jaune (Pomacanthus maculosus) se rencontre dans tous types de fond. Les juvéniles de couleur bleu métallique bardé de lignes blanches, sont très actifs et n’arrêtent pas de nager autour de leur rocher qui leur sert d’abris contre les prédateurs. Les poissons demoiselles sont aussi couramment rencontrés durant les plongées. La demoiselle d’Arabie (Pomacentrus arabicus) et la demoiselle réticulée (Pomacentrus trichourus) sont très curieuses et aiment beaucoup observer les intrus qui viennent aux abords de leur territoire.
Dans la famille des poissons papillons, le poisson papillons à points (Chaetodon nigropunctatus) est le plus commun des eaux du Golfe. Solitaire ou vivant en groupe restreint, ce petit poisson très actif affectionne les coraux en branches dans lesquels il peut se cacher facilement. Ce comportement est acquis lors de sa jeunesse car à l’état juvénile, ce dernier reste caché dans ces coraux.
Il est également possible de rencontrer le poisson papillon arabe (Chaetodon melapterus). Très facilement identifiable grâce à sa couleur jaune/orangé, il apporte comme un éclat de feu parmi les roches et autres coraux. Il est toujours en couple et nage rapidement en zigzag à la recherche de sa nourriture.
Le poisson coffre à queue bleu (Ostracion cyanurus) se rencontre de temps en temps et sait se faufiler rapidement sous les roches malgré sa nage maladroite, pour en ressortir via une autre issu. Sur les fonds de sable, le poisson coffre à points (Arothron stellatus), semble quant à lui dormir posé au fond. Mais ne vous y fiez pas car si vous vous approchez de lui trop près, il s’enfuira lentement mais sûrement.
Comme vous pouvez le voir, les eaux du Golfe regorgent de beautés de la faune et de la flore à découvrir et elles vous réservent de très belles rencontres.
Je pense que beaucoup reste encore à découvrir et explorer et malgré les années passées à plonger ici, je continue à faire de fabuleuses rencontres. N’hésitez donc pas à tremper votre masque et vos palmes lors d’une plongée bouteille ou d’un tour en PMT.
En référence :
- Reef Fishes, UAE and Gulf of OMAN, Richard F. Field.
- Sharks and Rays, Elasmobranch guide of the world by Ralf M. Hennemann.