PUBLI-REDACTIONNEL
NOMAD
Nomad est créé en 2004. Au départ, c‘était un tout petit centre géré par Christophe Chellapermal, son fondateur, arrivé dans les Emirats en 1986 et qui plonge dans le Moyen-Orient depuis 1991. Nomad est un centre bien équipé et on y trouve l’esprit et l’ambiance que l’on pouvait retrouver dans les centres et les campement de Dahab, en Egypte, du tout début.
Le centre est équipé pour offrir de la plongée loisir en scaphandre classique ou bien de la plongée technique en sidemount, circuit ouvert ou en recycleur.
Le centre offre différents packages avec plongée et logement au centre, à la guesthouse, en chalets privatifs ou bien encore dans les hôtels alentour. Il est aussi possible de louer des bateaux et d’organiser des trips privés accompagnés par les guides de Nomad.
Nomad n’est pas un centre usine et quand on vient plonger dans la région il est encore rare de voir d’autres bateaux de plongeurs.
Le centre est un centre PADI IDC et offre donc aussi des formations pros, le nombres d’élèves en formation est restreint de manière à pouvoir offrir un maximum d’attention aux futurs instructeurs.
Nomad offre aussi bien sûr des formations en recycleur, des plongées tek, en sidemount et en circuit ouvert, toujours en limitant le nombre de participants et en accordant un attention particulière à la qualité de ses formations.
Bien entendu, Nomad offre aussi des formations classiques.
L’AVIS DE FRANCIS LE GUEN QUI EN RENTRE
“Sous l’eau verte et bruissante de plancton, la forêt de corail noir agite ses branches duvetées du plus beau jaune dans la tempête aquatique. Des gorgones bleues, pourpres sont piquées aussi dans ce « jardin à la française » décoré de comatules où les oursins coussins ajoutent un peu de douceur aux épées des oursins. Des huîtres perlières à chair orange, des murènes léopard à gueule jaune, des hippocampes : un autre monde… Des raies mobulae viennent d’occulter le soleil. Eclipse de jade. Un banc de carangues nous engloutit, à donner le tournis, des poissons ange géographes picorent par dizaines sous le train ininterrompu des balistes bleues. Tant de faune, tant de mouvements : vert, bleu, un peu ivre, je ressors de l’eau chaude. Une plongée ordinaire au Musandam…
Nous sommes dans le Far East du Moyen Orient, entre le Sultanat d’Oman et les Emirats. Dans ce dédale calcaire inexploré du Musandam, doigt tendu sur l’Iran et déterminant le détroit d’Ormuz, le robinet d’or noir du golfe. Ces fjords qui ont fait nommer la région la « Norvège du Moyen Orient », sont en effet encore loin d’avoir révélé tout leur potentiel. Ne serait-ce qu’à cause de l’accès uniquement possible par bateau ou hélicoptère.
L’histoire commence à même le caillou rouge sous les palmiers recuits… A Dibba. J’y rencontre Christophe Chellapermal, personnage rabelaisien. Un père travaillant dans le pétrole, il connait les Emirats comme sa poche, avant de se passionner pour la plongée et les riches eaux du nord. Ce sera là !
Entre sécheresse féroce et crues dévastatrices du Wadi. Ici c’est l’aventure. Beaucoup de roche. Et la mer.
On commence avec un moteur, un bateau pneumatique, une clé anglaise. Et puis… Un centre nitrox et recycleur, deux speed boats pour atteindre plus vite les sites intéressants…
Ici on ne fait pas de chichis marketing : on est au bout de tout. Si vous êtes arrivés jusque là, vous n’allez pas repartir. Mais rassurez-vous, vous disposerez de « tout le confort moderne » et d’une table connue pour la meilleure du Musandam. Le centre est une oasis. Sans parler des nouveaux bungalows autour de la piscine, très agréables.
Au milieu de son bazar créatif (essentiellement des respirateurs éventrés et des câbles de flashs glissants comme des serpents), Christophe rêve d’expédition et éprouve régulièrement l’appel du désert. En recycleur le long de bandes de sables qu’il prospecte dans la nuit verte au pied des tombants, de plus en plus profond. Ou en 4×4 à travers les dunes rouges pour des barbecue-parties improvisées, des bivouacs plus ou moins déjantés…
En montant à l’extrême nord, dépassant des sculptures baroques de calcaire empilées sur la mer et le reflet d’un aigle pêcheur, nous sommes arrivés dans la zone des vortex. Là où le détroit d’Ormuz échange ses eaux chaudes avec le Golfe Persique. La peau de la mer se tend, se hérisse, pétille, se couvre de calmes trompeurs, noirs coupés à la lame bleu acier qui plonge sous la mer de tous les dangers. Une brume étrange couvre les premiers plans, au milieu des roches noires. Nous sommes seuls ici, à la frontière d’un autre monde, retrouvant l’enthousiasme du découvreur d’espaces.
Nous démarrons la plongée à contre jour, pour retrouver une lumière éclatante dans les vingt mètres. La roche est entièrement couverte de petits massifs d’alcyonnaires roses et de larges plaques de tuniciers orange vif. Avec l’aube aquatique qui se lève dans les tons bleu ciel, la palette de couleurs est unique. Je n’avais jamais vu çà…
Tornades de poisson et, dans le vert plus sombre, sur 30 m… une épave posée sur le sable. Un dowh en bois, la barre figée sur son dernier cap. Le navire de Sinbad le Marin, sans aucun doute. Ici, dans le silence chaud des profondeurs sous la lumière des hommes, les sortilèges arabes épousent les fortunes de mer. Et combien d’autres épaves restent à découvrir encore, dans ce piège à bateau où naviguaient les riches marchands portugais et hollandais chargés d’objets Ming ? Oui, sous les sédiments de l’histoire, le corail est ici de porcelaine…
Au loin, Dubaï, l’extension proposée par Christophe, dresse ses aiguilles vers le ciel. Démesure de cette moderne Babylone à visiter le nez en l’air… Ces gens là n’ont pas besoin de programme spatial : ils construiront bientôt des tours pour y aller. En ascenseur.
J’y ferai demain mon baptême dans l’aquarium à requins et une plongée de 800m. En ascenseur…”
OMAN
Oman se trouve en plein coeur de l’Arabie. C’est un pays qui à travers les âges a su préserver sont identité et sa culture.
Existant depuis la nuit des temps, Oman est depuis toujours un véritable carrefour culturel grâce à des échanges commerciaux avec la Perse, le Mozambique et la Tanzanie, l’ Inde et le Portugal.
Le peuple omanais, intimement lié à la mer (certains personages sont devenus de veritables légendes comme Sindbad le marin par exemple) a aussi une grande expérience de la pêche et du commerce.
Ouverts, chaleureux et accueillants, les Omanais ont cette capacité à vous faire ressentir la douceur de vivre des milles et une nuit mêlée à la légendaire hospitalité moyen-orientale.
Oman a aussi su se moderniser et se doter d’une infrastructure moderne avec des technologies de pointe : on se sent en complète sécurité tout le temps.
Avec une durée de vol d’à peu près 6 à 7 heures, l’Oman est un pays proche de l’Europe qui vous réserve plein de surprises, de rencontres chaleureuses et de paysages majestueux.
Le Wilayat du Musandam
Oman est un pays magnifique de par son histoire, sa culture et son emplacement,
Composé de différentes régions appelées willayat. Le Musandam est une région en retrait du territoire omanais. On en parle peu et souvent à cause de sa séparation géographique. Cette terre montagneuse se situe à la pointe du détroit d’Hormuz. C’est une région encore très sauvage et très peu developpée. Il n’y a que 2 villes accessibles en voiture Dibah et Khassab, entourées de montagnes plongeant dans l’océan. Passage obligé entre le golfe arabo-persique et l’océan indien, beaucoup de flore et de faune marine transite par le Musandam. Malgré tout cette région est restée sauvage et a été préservée.
On y trouve encore des sites avec des récifs qui bouillonnent de vie que l’on cherche du gros ou du tout petit et il y a vraiment de tout pour plaire tant aux amoureux de bio que de ceux à la recherche de gros…
Pour arriver jusqu’au Musandam un passage par Dubai est nécéssaire. Située a seulement 2 heures de voiture, cette proximité avec cette cité-Etat en perpétuel changement vous permet de faire des séjours contrastant entre le Musandam avec ses fjords majestueux et Dubai avec, entre autres, ses tours vertigineuses.
En savoir plus : au salon de la plongée : STAND 35
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Pour info : Où on apprend, que Agnes Milowka est décédée ce WE en explorant une cave en Australie qui a joué dans le film SANCTUM produit par James Cameron en tant que doublure et cascadeuse…où la réalité dépasse la fiction….qui n’en était pas une….
http://www.theage.com.au/victoria/retrieval-of-cave-divers-body-could-take-up-to-five-days-20110228-1bbqw.html?from=age_sb