Brigitte Lenoir veut s’accaparer le record du monde de plongée profonde. Dahab cet été, elle tentera d’atteindre 225 mètres. C’est au large de Saint-Gingolph qu’elle se prépare.
Dans le monde de la plongée technique, elle est un cas à part. Non pas qu’elle ploie sous le poids de son recycleur ou qu’elle rechigne à transporter ses bail-out, ou blocs de secours. Non. C’est plutôt sa tendance à garder ses hauts talons jusqu’au moment d’enfiler ses palmes qui frappe. «On me dit parfois que je fonctionne comme un mec. Ça ne m’empêche pas de vouloir garder ma féminité. Même si la plongée en soi, ce n’est pas vraiment sexy…»
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