La onzième édition du festival suisse se tiendra les 8 et 9 mars prochains à l’Aula des Jeunes-Rives de l’Université de Neuchâtel. Au programme, comme chaque année, des films, des photos, des invités, et beaucoup d’émotions partagées !
UNE NOUVELLE IMAGE
Nouveau logo, nouvelle affiche (photo : Didier BRANDELET), Festisub innove cette année. « Après 10 ans de bons services, expliquent les organisateurs, il n’était pas question d’abandonner le poisson du logo Festisub, c’est pourquoi celui-ci est resté sous une forme plus moderne. On reconnaît également dans le nouveau logo, créé par l’agence neuchâteloise Rouge de Mars, les éléments qui font le festival : l’oeil pour l’image et les vagues pour l’eau. » Et pour l’édition 2013, poisson-clown et anémone rose donneront le ton.
SENSIBILISER LES VISITEURS AUX EAUX SUISSES
Cette année, plus de 80 photos ont été envoyées au Festival dans la seule catégorie « eau douce » : et comme le rappelle Michel Lonfat, responsable du concours photo, « sensibiliser les visiteurs de la manifestation, à la beauté et à la richesse de nos fonds
Subaquatiques, rivières, carrières, lacs, gouilles, nous semble particulièrement important. Et au delà de la qualité qui ne cesse d’augmenter, le jury a été agréablement surpris par la diversité des sujets proposés par les concurrents, en terme de lieux, d’environnement, de faune et de flore… » Toutes catégories confondues, le jury a dû départager plus de 700 images, venues cette année de 14 pays, même si l’essentiel des concurrents vient de France, de Suisse et d’Italie.
RETROUVER LES FILMS PRIMES A MARSEILLE
Les films présentés, dont beaucoup ont été primés au Festival de l’Image sous-Marine de Marseille, promettent d’en prendre plein les yeux : vendredi soir notamment, « la traversée des mondes », de Denis Lagrange et Romain Dussaulx pour Grand angle production, qui a reçu le prix spécial du jury dans la catégorie long métrage, ou « Les larmes de crocodiles » de Luc Marescot, Palme de bronze, ou « Les enfants de l’apnée », un film de Véronique Veber qui a reçu le prix de l’Institut Océanique Paul Ricard et sera diffusé samedi en présence de Jérôme Espla et de Pierre Frolla, ou encore les « saumons-surprise » de Bertrand Loyer pour Saint-Thomas Production, qui a reçu la Palme d’or pour ce 52’…L’ensemble du programme est disponible sur le site internet de Festisub.
Pascal, Daniel Mercier et Michel en pleine séance de travail
LE GUEN A FESTISUB
Francis Le Guen, notre chroniqueur préféré, sera également de la partie : vous pourrez découvrir sur son stand, où il dédicacera bien sûr Narcoses, quelques unes de ses fractales, étonnants clichés qui ne cherchent « pas à reproduire la réalité mais plutôt à créer des projections mentales” précise-t-il. “Il y a belle lurette que l’on peut créer des volumes ou des textures avec un logiciel de 3D classique. Mais là, avec les nouveaux outils, on est en mesure de générer des motifs qui peuvent en théorie se répéter à l’infini. On peut choisir son angle, la lumière, la perspective et ensuite zoomer sans limite aucune, si ne ce n’est la puissance de calcul de la machine.« Et nous allons diffuser vendredi soir et samedi soir, explique Michaël Frascotti, un best of d’environ 5 minutes des meilleures moments de Carnets d’Expéditions. Ce sera l’occasion pour nous d’aborder sur scène avec Francis son expérience d’animateur spécialisé dans le domaine de la plongée…
Les invités
Le Programme
Des rencontres, du live, du beau, de la chaleur, de la magie, du non-filtré et de l’émotion : la recette Festisub ne change pas ! Et c’est aussi pour cela qu’on l’aime !
En savoir plus : http://festival.festisub.ch/
0 commentaire
J’ai l’habitude de regrouper toutes les “limaces” que je rencontre sous l’appellation “Nudibranches”.
Grâce à ce billet je réalise mon erreur 🙁
Merci pour toutes ces précisions qui me donnent envie d’approfondir.