@ Marie-Aline : Quel plaisir de lire ton billet ! ça va encore jaser dans les chaumières (cf le billet de Franck Tellosa et les réponses) !
Ceci dit, la plupart des plongées dans les eaux chaudes sont des structures Padi et le GO-Padi de service à bord, change de groupe toutes les semaines et je crois qu’il se moque complètement de nos avis.
Même en argumentant comme tu l’as fait,
– au mieux, j’ai obtenu la mine compatissante de circonstance, une écoute polie, et la réponse qui va avec « oui, mais tu comprends, s’il y a un problème, ça gâchera les vacances de tout le monde puisqu’on sera obligé de rentrer », ce qui est vrai.
– Et au pire, la menace de priver tout le monde en mouillant sur des sites dont le fond sera à 20 mètres, pointé du doigt le/la fautif, avec la conclusion, « be ok if you don’t want to be the person everyone hates » – restez tranquille si vous ne voulez pas être la personne que tout le monde déteste ; première demi-heure à bord, discours de bienvenue !
A la question « avez-vous des questions », « oui ! Le cursus Padi s’est-il doté d’une spécificité plongée totalitaire ?! » Chacun ayant marqué sont territoire, durant le séjour nous avons échangé un petit signe de tête en guise de bonjour et nous sommes soigneusement évités. Même s’il y va de la sécurité, de la sérénité (mot à la mode !) et du bien-être de chacun durant le séjour, j’ai trouvé cette présentation pour le moins, déplacée et d’un grand manque de tact. Et au cours du même séjour, voyant un advance Padi donner de l’air à un apnéiste à 5 mètres, j’en ai conclu qu’ils préféraient la surpression pulmonaire à l’accident de décompression !
Je veux bien qu’on m’emmerde avec la plongée sans déco, mais j’attends du DP – puisqu’il était présent – qu’il intervienne et qu’il explique le pourquoi du comment, au plongeur qui a donné de l’air, ce qui n’a pas été le cas. A part le côté monnaie, ils apprennent quoi ?
Plus je rencontre de moniteurs purement Padi, plus je les trouve pénibles et formatés, leurs clients-plongeurs étant des produits à gérer (je schématise). Le peu que j’en ai vu : je ne leur fais pas confiance. En croisière, je demande où se trouve l’oxy, je souhaite savoir comment s’ouvre la valise, ce qu’il y a dedans, et je garde à portée de main l’aspirine et l’eau.
L’exception justifie la règle, j’en connais d’excellents, pédagogues, intelligents, instinctifs, avec lesquels j’ai bien accroché et qui nous ont montré leur site fétiche, Michel à Moorea, Gabriel à Filitheyo – Maldives, Didier à Playa del Carmen et Guido à Mabul/pompom. Et comme par hasard certains ont une formation MF1 ou BEES1. Etonnant non ?
En poursuivant votre navigation, vous acceptez l'utilisation des cookies pour améliorer le fonctionnement de notre site et l'expérience utilisateur.OkNoConditions d'utilisation du site
2 commentaires
@ Marie-Aline : Quel plaisir de lire ton billet ! ça va encore jaser dans les chaumières (cf le billet de Franck Tellosa et les réponses) !
Ceci dit, la plupart des plongées dans les eaux chaudes sont des structures Padi et le GO-Padi de service à bord, change de groupe toutes les semaines et je crois qu’il se moque complètement de nos avis.
Même en argumentant comme tu l’as fait,
– au mieux, j’ai obtenu la mine compatissante de circonstance, une écoute polie, et la réponse qui va avec « oui, mais tu comprends, s’il y a un problème, ça gâchera les vacances de tout le monde puisqu’on sera obligé de rentrer », ce qui est vrai.
– Et au pire, la menace de priver tout le monde en mouillant sur des sites dont le fond sera à 20 mètres, pointé du doigt le/la fautif, avec la conclusion, « be ok if you don’t want to be the person everyone hates » – restez tranquille si vous ne voulez pas être la personne que tout le monde déteste ; première demi-heure à bord, discours de bienvenue !
A la question « avez-vous des questions », « oui ! Le cursus Padi s’est-il doté d’une spécificité plongée totalitaire ?! » Chacun ayant marqué sont territoire, durant le séjour nous avons échangé un petit signe de tête en guise de bonjour et nous sommes soigneusement évités. Même s’il y va de la sécurité, de la sérénité (mot à la mode !) et du bien-être de chacun durant le séjour, j’ai trouvé cette présentation pour le moins, déplacée et d’un grand manque de tact. Et au cours du même séjour, voyant un advance Padi donner de l’air à un apnéiste à 5 mètres, j’en ai conclu qu’ils préféraient la surpression pulmonaire à l’accident de décompression !
Je veux bien qu’on m’emmerde avec la plongée sans déco, mais j’attends du DP – puisqu’il était présent – qu’il intervienne et qu’il explique le pourquoi du comment, au plongeur qui a donné de l’air, ce qui n’a pas été le cas. A part le côté monnaie, ils apprennent quoi ?
Plus je rencontre de moniteurs purement Padi, plus je les trouve pénibles et formatés, leurs clients-plongeurs étant des produits à gérer (je schématise). Le peu que j’en ai vu : je ne leur fais pas confiance. En croisière, je demande où se trouve l’oxy, je souhaite savoir comment s’ouvre la valise, ce qu’il y a dedans, et je garde à portée de main l’aspirine et l’eau.
L’exception justifie la règle, j’en connais d’excellents, pédagogues, intelligents, instinctifs, avec lesquels j’ai bien accroché et qui nous ont montré leur site fétiche, Michel à Moorea, Gabriel à Filitheyo – Maldives, Didier à Playa del Carmen et Guido à Mabul/pompom. Et comme par hasard certains ont une formation MF1 ou BEES1. Etonnant non ?
selon cet article, les choses évolueraient …….lentement, mais, il en faut de la patience et de l’opiniatreté -comme
pour tout,” patience et longueur de temps valent mieux que force et rage” : hélas, cent fois hélas !!!!!
bonne journée à tous